JUSTE POUR RIRE UN PEU !
28 nov. 2009
VOICI DES EXTRAITS D'UN
ARTICLE PARU DANS LE JOURNAL COMMUNISTE "LIBERTE 62 n°799 -4- Le 7 Mars 2008" JUSTE POUR RIRE UN PEU !
RASSEMBLER BETHUNE AVEC STEPHANE SAINT ANDRE ET HENRI TOBO
Vivre dans la sérénité dans une ville où le quotidien doit retrouver sa place
Par Pierre Pirierros
“ Il y a tellement de choses à dire” souligne Stéphane Saint-André, à quelques jours du premier tour des élections municipales, lui, dont la campagne a débuté le 7 janvier, ce qui a permit de
frapper à quelques 12 000 portes, c’est-à-dire, dans tous les quartiers sans exception. Ses colistiers ont mouillé la chemise, à commencer par les candidats communistes, présents sur la liste
“Rassembler Béthune”, notamment, Henri Tobo, figure d’un militantisme exemplaire. Cette liste s’appelle également “La liste du renouveau 2008-2014”
Le triptyque “économies budgétaires, services de proximité, rénovations des quartiers” résume les priorités à mettre en place pour changer la vie des Béthunois. 43 ans, ancien assistant
parlementaire, Stéphane Saint-André, connaît les arcanes de la vie locale avec une expérience précise. Avec Henri Tobo, Pascal Lécaille, Martine Bottineau, Dominique Guérout, les militants PCF -
présents sur la liste - partagent cette confiance et cette volonté de tout faire pour que Béthune devienne une ville facile à vivre au quotidien. Ce thème est porteur, les habitants rencontrés
apportent un vibrant témoignage allant dans ce sens.
“Je ne suis dans aucune revanche, dans aucun slogan “tout sauf Mellick”, commente Stéphane Saint-André, dans une récente rencontre avec la presse, mais il faut bien se dire que le maire sortant
est prêt à tout pour conserver son fauteuil de maire.
Tout va se jouer au premier tour, car ensuite, c’est à un nouveau rassemblement éventuel pour Béthune, et nous sommes prêts à assumer notre rôle.”
Des idées neuves sont indispensables
MERCI AUX COMMUNISTES POUR AVOIR AMENER A LA MAIRIE DE BETHUNE CELUI QUE L'ON CONNAIT !
LES BETHUNOIS VIVENT DESORMAIS DANS LA SERENITE OU LE QUOTIDIEN A RETROUVE SA PLACE, IL N'Y A PAS DE DOUTE LES HABITANTS L'ONT BIEN CONSTATE ! JAMAIS ON AURA AUTANT PARLE DE BETHUNE ! COMME C'EST
TRISTE, HENRI !
Alain Térieur