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Parler de clientélisme pour les associations, c'est un bel encouragement pour les bénévoles et adhérents des associations, suspectés par la municipalité, en particulier Y. Bultel au cours d'un conseil municipal, d'obtenir des subventions non pas pour leurs actions mais simplement par copinage !

Ce type de délire de la part d'élus de la majorité ou du moins ce qu'il en reste, induit depuis 2008, un sentiment de malaise du tissu associatif béthunois.

Il en découle que de nombreux responsables associatifs et adhérents sont considérés par la municipalité non pas comme des partenaires mais comme des prestataires de service.

Leur travail et leur savoir-faire est parfois reconnu mais au seul bénéfice de la municipalité.

Dans ces conditions il est compréhensible qu'une crise des vocations bénévoles se fasse sentir et qu'il soit désormais de plus en plus difficile de mobiliser les énergies associatives béthunoises, la municipalité devant faire appel à des intervenants extérieurs alors que des compétences locales existent.

 

MFM

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