Sondage L’Avenir de l’Artois.

 

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1800 réponses à 18h hier soir. 1968 ce matin à 8 h.. 2015 à 16 h. Attention toutefois à ne pas dépasser le nombres d’électeurs inscrits sur les listes officielles.

 

Merveilleux panel !

 

Oui, mais bon, notre donneur de leçons préféré, Daniel Boys, plus pur que lui  ,tu meurs, tacticien en diable a, paraît-il, par l’intermédiaire d’un certain Rousselle de Bruay (sic !) demandé à quelque 500 salariés de la ville de bien vouloir répondre à ce sondage en votant pour lui. Ça ne suffisait sans doute pas, ce vieux technicien a demandé par mail à tous ses amis: Votez Boys, faites votez conjoints, conjointes, enfants, voisins, voisines, amis, amies, le chien et le chat.

 

Pour ne pas être ne reste OG a fait de même. Il a fait le métier, comme on dit,.et a fait marcher tous ses réseaux, y compris bien entendu le réseau de la Fédération UDI du Nord Pas de Calais, peut-être même mieux

 

Vous pensez bien que l’intéri-maire ne pouvait pas ne pas réagir et ce fut l’inflation

 

Difficile de dire qui a commencé, ce qui est sûr, c’est que les téléphones sonnent, les SMS abondent, les mails se croisent.

On se croirait dans les grandes soirées de finale de nos émissions télévisuelles cultes The Voice, Star Academy ou Secret Story. Votez 1, 2 ou 3.

Mais, merde, vous êtes nuls, il fallait s’assurer les services de Benjamin Castaldi ou de Nikos Aliagas et vous l’auriez gagné votre sondage.

 

Le résultat est bien évidemment sans intérêt, tout le monde peut voter, l’ordinateur qui n’accepte pas quand même les doubles votes accepte les voix des mineurs, des habitants d’Annezin ou de Vendin, d’Arras ou de Lille.

Rappelons en outre que, comme pour l’émission WEO, il ne s’agit que des candidats déclarés à ce jour. Rien ne dit qu’ils iront tous jusqu’au bout, Rien ne dit qu’il n’y aura pas d’autres candidats.

Si « l’avenir » de notre ville doit être entre les mains de ces tricheurs, de ces tristes sires entourés de leurs tristes sbires, on ne peut pas dire que nous soyons très bien.

 

Beurk, beurk, beurk, elle pue cette politique là.

 

 

 

Jean Marc DENDIEVEL 

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